Flagrant Délit DExhibition Sur Chantier !
Aîné dune famille reconstituée, jai 30 ans et je vis seul dans mon petit appartement. Je suis plutôt timide et ai très difficile à avouer mon homosexualité. Quand javais 11 ans mes parents se sont séparés. Mon père est parti vivre à létranger et je me suis retrouvé seul avec ma mère, pas pour très longtemps. Jétais son fils adoré mais les choses changèrent en un an ! Ma mère sest rapidement mise en couple avec un type au physique opposé à mon père ! Allez comprendre les femmes ! Alors que mon père de qui je tiens, était plutôt grand, mince, blond et imberbe, le nouvel ami de ma mère était de type rital, petit massif et extraordinairement poilu ! Alors que mon père était un intellectuel, le nouveau jules de ma mère était entrepreneur et très manuel. Ce type avait par contre une libido très développée et je dû me farcir toutes nuits les gémissements de ma mère et les grognements de mon beau-père ! Jeu très vite un premier frère. Suivi dun second. En deux ans de temps, ma mère sétait remariée grosse du premier fils et avait donné naissance, lannée qui suit au deuxième. De cet instant, je nai plus compté. A 20 ans je fuyais la maison car je sentais mon homosexualité pointer de plus en plus et elle ne serait pas admise dans ce monde de machos ! Mes petits frères se moquaient déjà régulièrement de moi car jétais coquet et je navais pas de petite amie ! Depuis ce temps, je nai plus eu beaucoup de rapport avec ma famille. Jappelais ma mère 3 fois lan et basta. Jessayais de me concentrer sur ma vie et ce nétais pas facile. Je me mis à fréquenter les bars un peu hard. Jy rencontrais nombres dhommes bears comme lon dit et cela mexcitait. Je serais incapable de dire si cela avait une relation avec mon beau-père car je ny pensais réellement plus du tout. Je me sentais par contre bien que dans ce type de relation, être la poupée dun mec ultra viril. Un jour, je suis tombé sur un turc et après mavoir baisé bien profond, il ma dit que je ferais fureur sur le chantier où il travaillait.
Ali Cest Ali, tu te rappelles de moi ? Tu veux toujours servir de pute pour mes potes ?
Moi, skotché Euh, .. oui je me rappelle. Ben
oui pourquoi pas ! Tu as un plan sûr à me proposer ?
Ali Oui, samedi équipe réduite, mes amis doivent terminer une première phase des travaux et ils vont devoir travailler toute la journée. Tu pourrais les récompenser de leur courage !
Moi Euh
OK
cest où ton chantier ? Comment dois-je faire ? Ou me présenter ? Tu seras là ?
Ali Oui tinquiète. Tu peux mettre des bas jarretelles sous un jeans moulant, pas de slip et un T-shirt qui retombe un peu sur tes fesses ?
Moi, étonné Euh .. oui pourquoi ?
Ali Tu sais ce sont pas de pédés. Ils sont en manque cest vrai mais un cul lisse sans poils avec des bas jaretelles, ca devrait aider !
Et il se mit à rire.
Ali Prends de quoi noter, ladresse est 233 Boulevard Saint-G. Tu peux être là vers 6H du matin ?
Moi - OK, à samedi.
Je tremblais de peur et dexcitation à la fois ! Mais loccasion ne se représentait pas. Il fallait que jy aille.
Samedi, 4H30 du matin, je me faisais un lavement.
Bld Saint-G, 5H55, Ali mattendait tout sourire. Des ouvriers arrivaient et le saluaient dun signe de la main. Limmeuble en construction devait faire 5 étages. Un 6ième était en construction. Ali me demanda de le suivre. Nous montâmes par un ascenseur de type monte charge, entièrement ouvert jusquau 6ième étage. Trois ouvriers, tous turcs + Ali étaient du voyage. Je fûs un peu effrayé par le vide et jeu le réflexe inconscient de me coller à Ali, ce qui fit rire la petite assemblée à ma grande honte. Jétais rouge cramoisis. Des mots dans une langue inconnue séchangeaient et le ton était grivois. Ali me repoussa un peu et me tapa un bon coup sur les fesses ce qui fit rire ses compères de plus belle. Enfin, nous arrivions au 6ième étage. De manière inattendue, les hommes sécartèrent pour me laisser passer en premier lieu. Me considéraient-ils déjà comme leur petite femme ? Je sortis soulagé. Les trois gars allèrent rejoindre deux autres déjà en plein travail. Je demandai à Ali ce quil avait raconté à ses amis ?
Ali Quoutre être un bon cul tu te comportais vraiment comme une femelle jusque dans le détail du vertige !
Je sentais des regards sur moi. Les 5 autres ouvriers me regardaient. Certains se paluchaient déjà le sexe. Ils étaient tous plus ou moins du même type. Entre 40 et 50 ans, entre 1M60 et 1M77, certains avec moustache et dautres mal rasés. Vraisemblablement, tous poilus. Ali me dit alors ce quil attendait de moi !
Ali Bon maintenant, tu vas retirer ton jeans et commencer à balayer cette partie.
Jétais paniqué mais je bandais déjà à moitié.
Moi Ce nest pas dangereux ? Comment vont réagir les autres.
Ali Il ny a que nous six sur le chantier aujourdhui. On doit terminer un travail avant que les autres ne continuent leur partie. Tu seras notre pute toute la journée en toute discrétion.
Sur ce, Ali alla rejoindre les autres. Tremblant, je me dirigeai dans un coin pour ôter mon jeans. Jeu la délicatesse de retirer mes chaussette également. Je me retrouvai donc en bas Dim, les pieds dans mes baskettes et un T shirt blanc qui ne recouvrait que ¾ mes fesses. Jentendis immédiatement des sifflements et de lexcitation de la part des mes futurs partenaires. Je nosais les regarder. Je pris le balais et commençai mon travail. Comme me lavait demandé Ali, au bout de 5 minutes je me dirigeai vers le petit local derrière moi et recommençai à balayer. Je sentis immédiatement deux mains sur mes fesses et un souffle dans mon cou. Ces mains rugueuses me palpaient les fesses sans ménagement. Un doigt puis deux entrèrent rapidement dans mon fondement. Le souffle dans ma nuque se faisait haletant. Je gémissais et me cambrais tout en balançant un peu mo cul. Le gars ouvrit son pantalon et me retourna pour appuyer sur mes épaules. JE me retrouvai donc à genoux face à un gars dune 50aine, petit, trapu et bedonnant. Un sexe plutôt épais et circoncis métait offert. Je ne me fis pas prier deux fois et le suçai rapidement et goulument. En moins dune minute le gars jouissait dans le fond de ma gorge et poussant des grognements de satisfaction. JE le suçai encore pour nettoyer son sexe redevenu mou mais toujours épais. Il se rhabilla et retourna travailler. Jentendis des exclamations excitées de lautre côté du mur et des rires semblables à ceux dadolescents ! De mon côté, je me remis debout et continuai mon travail de balayage.
Vincent - je men doutais que cétait une fiotte !
Xavier en tout cas ça lui va bien les panties !
V Xav, ta vu sa petite bite ?
X - Non
A ce moment, je sentis le pied de Vincent se glisser sous mon ventre pour me forcer à me retourner. Je résistai un maximum et me coucher sur le ventre. Xavier dit alors que cela navait aucune importance, ils nétaient pas pédés et ma bite ne les intéressait pas ! Vincent, toujours lui rit et répondit à son frère.
V Tu as raison frérot, et puis il préfère jouir du cul ! A ces mots, il me plaça fermement le bout de sa Nike entre les fesses, juste sur ma rondelle.
X Elle aime ça tu crois ?
V Pour sûr, je dois faire attention de ne pas perdre mon pied dans ce fion dilaté ! ahahaha
X Tu déconnes ! Arrête jentends le père qui revient.
Ils séloignèrent de moi, toujours goguenards quand Antonio entra. Il demanda à ses fils de rentrer à la maison et de rien dire sans son autorisation à ma mère. Il mit ses gamins hors du local et sassit sur une des chaises restée vacante.
Antonio Lève toi quand je te parle.
Je me levai.
Antonio Tu as sacrément excité mes hommes ! Ils sont prêts à travailler 7J/7 pour ne pas être viré. Mais Ali a demandé quil ait au moins une heure par semaine la possibilité de tutiliser ! Il ne manque pas dair ce gars. Mais nous sommes très en retard sur ce chantier et je nai guère le choix. Je ne dirai donc rien à ta mère si tu restes disponible pour mes hommes tous les dimanche jusquà la fin du chantier. Cest un bon deal tu ne trouves pas ? Taime te faire fourrer la moule et moi jai besoin de terminer ce foutu chantier pour septembre !
Timidement, les yeux baissés, jacceptai la proposition de mon beau-père. Je navais pas vraiment le choix !
Antonio OK cest parfait, tourne toi un peu que je vois ce cul qui semble tellement intéresser mes gars !
JE me retournai. Il se leva, se pencha, écarta mes deux lobes fessiers.
Antonio Un vrai cul de bonne femme ! Presquune chatte et tu mouilles avec ça ! A mois que ce ne soit du sperme qui sécoule ! Et il parait que tu suces comme une déesse !
A ces mots, il sortit son sexe et me retourna. Il me regarda dans les yeux et me demanda sans sourciller de le sucer pour mexcuser ! Il avait la plus belle queue jamais rencontrée. Ses couilles étaient rasées et lourdes. Son prépuce recouvrait pour ¾ un énorme gland. Je le suçai du mieux que je pouvais. Sa bite durcissait. Il me saisit la tête et la dirigea à son rythme. Ni trop lent ni trop rapide. Il était endurant le salaud ! Il ne se vida quau bout de 10 minutes de suçage. Jen avais des douleurs à la mâchoire.
Il me quitta en me demandant de me mettre à sa disposition et à celle dAli qui était devenu son adjoint pour le chantier
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